Créé par l’artiste Lee Ufan, qui s’est attaché à Arles depuis une exposition en 2013, Lee Ufan Arles a ouvert en avril 2022. Ce centre d’art, situé dans un hôtel particulier datant du XVIème et XVIIIème siècles, présente des travaux historiques et récents de l’artiste, et propose également une programmation d’expositions temporaires ainsi que des activités artistiques et culturelles.
Les œuvres de Lee Ufan, peintre, sculpteur, poète et philosophe né en 1936 en Corée, agissent comme des révélateurs. Elles attirent l’attention sur les matériaux, sur le vide ou bien sur la distance entre deux éléments, sur les reflets et les ombres : tout ce que nous n’avions pas forcément vu au premier regard, et qui pourtant participe de l’œuvre d’art.
Ses sculptures, qu’il appelle Relatum, sont le résultat de « rencontres » : par exemple entre un matériau naturel (pierres, lin, ...), un matériau industriel forgé par l’homme (plaques d’acier, de verre...) et un espace. Ses peintures, travaillées par séries sur plusieurs décennies parfois, sont aussi le support de réflexions sur le temps, sur le geste, sur la relation entre le plein et le vide. L’expression personnelle s’est effacée dans une quête d’infini régulièrement renouvelée.
Créé par l’artiste Lee Ufan, qui s’est attaché à Arles depuis une exposition en 2013, Lee Ufan Arles a ouvert en avril 2022. Ce centre d’art, situé dans un hôtel particulier datant du XVIème et XVIIIème siècles, présente des travaux historiques et récents de l’artiste, et propose également une programmation d’expositions temporaires ainsi que des activités artistiques et culturelles.
Les œuvres de Lee Ufan, peintre, sculpteur, poète et philosophe né en 1936 en Corée, agissent comme des révélateurs. Elles attirent l’attention sur les matériaux, sur le vide ou bien sur la distance entre deux éléments, sur les reflets et les ombres : tout ce que nous n’avions pas forcément vu au premier regard, et qui pourtant participe de l’œuvre d’art.
Ses sculptures, qu’il appelle Relatum, sont le résultat de « rencontres » : par exemple entre un matériau naturel (pierres, lin, ...), un matériau industriel forgé par l’homme (plaques d’acier, de verre...) et un espace. Ses peintures, travaillées par séries sur plusieurs décennies parfois, sont aussi le support de réflexions sur le temps, sur le geste, sur la relation entre le plein et le vide. L’expression personnelle s’est effacée dans une quête d’infini régulièrement renouvelée.
Table ronde le jeudi 12 décembre - Le constructivisme : détruire l’art pour refonder le quotidien
Avec Nicolas Liucci-Goutnikov - directeur, Bibliothèque Kandinsky et Valérie Pozner - directrice de recherche au CNRS (Thalim -Théorie et Histoire des Arts et des Littératures de la Modernité).
Visite guidée gratuite de l'exposition à 17h, avant la conférence.
Participation gratuite sur réservation préalable auprès de billetterie@leeufan-arles.org
Des membres les plus reconnus aux membres moins connus du grand public, les artistes de l’avant-garde européenne partageaient un même désir de création. Celui d’un langage visuel universel prenant racine dans l’architecture et l’esthétique industrielle. Shape-Space-Form-Faktura présente une sélection d’œuvres remarquables d’artistes parmi lesquels Kasimir Malevitch - artiste qui continue d’inspirer Lee Ufan - aux cotés de Henryk Berlewi, Gustav Klucis, Lajos Kassák, Katarzyna Kobro, El Lissitzky, Laszlo Moholy-Nagy, Peter Laszlo Peri, Sergei Senkin, Władysław Strzemiński.
Cette première exposition historique à Lee Ufan Arles illustre à la fois l’intérêt et l’inspiration de Lee Ufan pour Malevitch et les artistes d’avant-garde, ainsi que la volonté de présenter pour la première fois sur le territoire arlésien des œuvres majeures du courant suprématiste et constructiviste.
Lee Ufan Arles invite la grande artiste contemporaine américaine Pat Steir à investir l’Atelier MA, face à l’Hôtel Vernon.
L’exposition Pat Steir, Light on Water rassemble deux corpus d’œuvres sur papier, rares ou inédites, de la célèbre artiste Pat Steir. Connue pour ses peintures, Steir entretient depuis le début des années 1970 une pratique active du dessin.
En 1989, Pat Steir a commencé sa célèbre série Waterfall dans laquelle elle fait tomber en cascade de la peinture sur toute la longueur de la toile, abandonnant délibérément son processus à la gravité et au hasard. À cette époque, Steir réalise les six dessins qui composent la série Light on Water en versant et en cumulant la peinture à l'huile et l'aquarelle sur du papier fabriqué à la main.
Les dessins de la série Light on Water seront exposés aux côtés d’une série sans titre datant de 2005. Distillant son processus pictural jusqu’au moment décisif du contact avec le papier, ces dessins témoignent de la place offerte au hasard dans le travail de l’artiste, lorsqu’elle laisse la peinture prendre sa propre forme.
Lee Ufan Arles
5 rue Vernon, 13200 Arles
+33 (0)9 78 07 83 26
www.leeufan-arles.org
Du mardi au dimanche (tous les jours de Juillet à Septembre), 10h-18h ( 10h-19h de Juillet à Septembre).
Repérez d'autres lieux d'art dans un périmètre proche sur la carte.
À VOIR/À FAIRE
• Château de Campuget : à quelque minutes d'Arles, profitez d'une balade dans un superbe parc au milieu des vignes, d'un verre de rosé bien frais du domaine, de plats délicieux réalisés avec des produits du potager. C'est l'endroit idéal pour fuir un peu la folie des Rencontres et se détendre.
• Plage de Piemanson : 7 km de sable fin en pleine Camargue. Les étangs du sud de Vaccarès abritent des colonies de flamants roses.
• Parc Naturel Régional des Alpilles : situé entre la Camargue et le Luberon, le parc des Alpilles couvre une zone de marais, de forêts, de vignes et d'oliviers adossés aux rochers calcaires du Luberon.
• Le Buste et L'oreille : cette cave à vin (et à manger) accueille une librairie éphémère Louis Vuitton.
SE LOGER
• La Maison Molière : 5 chambres élégantes, meublées avec goût, tenues par le collectionneur Michel Montagnier, dans le quartier de la Roquette.
• Hôtel Présent : cette bâtisse des années 50 est l'écrin d'une collection de luminaires, d’objets d'art et de mobilier des années 40 à nos jours. Au-delà des 13 chambres, le lieu est avant tout un restaurant, un bar et un rooftop offrant l’un des plus beaux panoramas de la ville.
• Mas de Chabran : Le domaine de Chabran et son Mas Provençal du 18ème siècle se dresse au milieu d'immenses jardins à la française, non loin du village de Maussane-les-Alpilles.
SE RESTAURER
• Le café japonais : coffee shop japonais qui sent bon le thé matcha glacé et le K'Far café. Laissez-vous séduire par leurs délicieux onigiris !
• Kalu Coco : sandwichs frais, salades et sushis ! Des recettes savoureuses et un accueil formidable.
• Inari : une table estivale tenue par Céline Pham, une chef qui fusionne cuisine française et héritage vietnamien. Certainement le meilleur rapport/qualité/prix de la ville.
• La Chassagnette : restaurant 1 étoile Michelin dans une ancienne bergerie camarguaise, avec le chef Armand Arnal au service d'un potager bio de plus de 2 hectares.
• L'Oriel : restaurant français qui met à l'honneur les producteurs locaux et des produits de saison, avec Quentin Lepilliet en cuisine, un jeune chef passionné.
• Le Galoubet : cuisine bistronomique réalisée à partir de produits bruts de grande qualité, servie dans un beau bâtiment XVIIIe siècle.
• Mesa : mets de saison et vins naturels, à déguster en terrasse ou dans la salle à l'ambiance bistrot avec cuisine ouverte.